ℹ️ Cet article est basé sur les ressources du Portail Santé Montérégie au Québec : Fiches d’éducation psychologique et outils d’autosoins pour les troubles mentaux…
POUR LIBÉRER LE POUVOIR D'AGIR !
ℹ️ Cet article est basé sur les ressources du Portail Santé Montérégie au Québec : Fiches d’éducation psychologique et outils d’autosoins pour les troubles mentaux…
Dans un contexte professionnel exigeant et en évolution constante, les savoir-être sont une valeur ajoutée appréciable et appréciée. Au-delà des compétences techniques, l’aptitude à communiquer,…
Le stress, bien que naturel et essentiel dans nos vies, peut parfois occuper une place disproportionnée dans le quotidien. En effet, le stress est une…
Les savoir-être sont des outils importants pour les demandeurs d’emploi qui souhaitent s’insérer durablement sur le marché du travail. La prise de conscience de ses forces et de ses axes d’amélioration et le développement des qualités recherchées par les recruteurs, telles que l’autonomie, la rigueur, ou encore la capacité à s’adapter à des environnements variés sont des atouts clés. En cultivant des compétences comme la gestion du stress, la persévérance ou le sens du service, les candidats deviennent plus attractifs et mieux préparés pour les entretiens et la prise de poste. Dans un contexte de mutations rapides, des qualités comme la curiosité et la créativité s’avèrent essentielles pour anticiper les changements.
Dans le monde professionnel contemporain, les compétences comportementales, ou « soft skills », sont devenues incontournables pour les salariés, quel que soit leur niveau hiérarchique. Ce constat tranche nettement avec le passé, où ces aptitudes étaient principalement attribuées aux classes dirigeantes. Regroupant des qualités personnelles telles que la communication efficace, le leadership, l’adaptabilité et l’empathie, ces compétences sont désormais essentielles pour évoluer dans des environnements complexes et interconnectés. Il est donc intéressant de noter qu’autrefois, la maîtrise de telles compétences était rare et souvent réservée aux figures de pouvoir.
Il est crucial de progresser dans sa carrière en restant fidèle à ses valeurs. La théorie de la zone proximale de développement de Lev Vygotski met en lumière l’écart entre ce que l’on peut accomplir seul et ce que l’on peut réaliser avec de l’aide, permettant de fixer des objectifs ambitieux mais réalistes. Les valeurs se traduisent par des actions concrètes et doivent être alignées avec les objectifs professionnels pour donner un sens à son travail. En maintenant des exigences élevées tout en fixant des objectifs atteignables, on favorise une progression durable. Il est important d’identifier ses valeurs fondamentales, d’analyser sa zone de développement, de fixer des objectifs alignés avec ses valeurs, de s’entourer de personnes inspirantes et de passer à l’action pour réaliser son potentiel professionnel. Ce sont les actions, plus que les paroles, qui déterminent le succès et l’impact dans son domaine.
La zone de confort serait-elle une entrave à l’évolution personnelle et à l’apprentissage ? C’est possible. La stabilité, souvent perçue comme nécessaire à l’apprentissage, est en réalité moins efficace que les défis et les incertitudes. Les ruptures et les situations chaotiques sont cruciales pour l’éveil intellectuel et l’innovation. Pour se développer, il est essentiel d’adopter une « routine apprenante » et de chercher activement des expériences déstabilisantes (au moins en ce qui concerne les certitudes). Se contenter de la zone de confort limite notre potentiel et notre ambition. En bref, sortir de sa zone de confort ne doit pas être un événement exceptionnel, mais une pratique quotidienne !
La compétence est la capacité à appliquer ses connaissances et ses aptitudes, tandis que la qualification est un ensemble de connaissances et d’expériences reconnues. Cet article explore comment acquérir et développer ces compétences et qualifications, propose une méthode en quatre étapes pour un auto-bilan de compétences, examine les compétences transversales, met en garde contre les approches centrées uniquement sur les compétences, et rappelle la définition des compétences transférables et transversales.
L’âge n’est plus qu’une simple mesure du temps, c’est devenu un critère de jugement, notamment dans le monde professionnel où il peut ouvrir ou fermer des portes. L’expression « On a l’âge de ses artères » souligne l’idée que notre vitalité et notre santé sont plus significatives que le nombre d’années écoulées depuis notre naissance. Cependant, en dépit de cette sagesse populaire, la discrimination liée à l’âge persiste dans le milieu professionnel, mettant de côté l’expérience, les compétences et le potentiel au profit des préjugés. Nous allons explorer les notions d’âge réel et d’âge ressenti et nous poserons une question simple : et si nous pouvions choisir notre âge, déconnecté de la chronologie, pour contrer ces préjugés ? Vous avez quel âge ?
Dans le contexte actuel du marché de l’emploi, compétitif et en constante évolution, la préparation à l’entretien d’embauche est toujours une étape-clé pour tout demandeur d’emploi. Cette préparation ne se limite pas seulement à mettre en évidence les qualifications et les expériences acquises, mais elle englobe également la capacité à démontrer les compétences interpersonnelles, souvent appelées « soft skills », qui sont de plus en plus valorisées par les employeurs. Voici une réflexion sur l’évolution des techniques d’entretien d’embauche et l’importance croissante des soft skills dans le processus de recrutement.